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Trisaïeul
Bonjour à tous,
J'ai retrouvé la tombe de mon bisaïeul (Arrière grand-père) à Pleumeur Bodoù.
Yves CHARLèS (1867-1933) et son épouse Maryvonne MANGARD (1867- 1929)
Pour vous, les enfants, c'est votre trisaïeul ou arrière-arrière grand père.
Gros bisous.
Claude Guillemain
44, rue Léon Durocher
22730 TREGASTEL
France
Tel: + 33 2 96 23 84 21
GSM: + 33 6 67 03 05 87
Skype: klaodgillamaen
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Kan ar Vein
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Bonne pêche !
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Deizh ha bloaz laouen, Erwan !
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Patrimoine. Les jeunes franco-allemands à la rescousse
Un chantier participatif a réuni une vingtaine d'adolescents, français etallemands, sur le site de Coat-Ermit. Un nouveau routoir à lin a ainsi été mis au jour.
Caroline, Kim et Léonie, échevelées, sont assises sur une souche. Éreintées mais ravies. Pour la première, c'est déjà son deuxième chantier en France. «Ça permet de connaître un autre pays de l'intérieur tout en étant utile.» La semaine dernière, les jeunes Allemandes, originaires de Hambourg, ont rejoint un groupe de Français du même âge (de 15 à 18ans) pour participer à un chantier d'entretien à Coat-Ermit. Dix jours de vacances, dont quatre de «travail» plutôt physique. «Il s'agissait de mettre au jour un ancien routoir à lin pour, ensuite, envisager de le mettre en restauration», explique Loïc Gosselin, garde animateur de la Maison de l'estuaire et maître des bois alentours.
Quatre ans de chantier
Ce chantier participatif est placé sous l'égide de la Fédération des oeuvres laïques (Fol), qui avait dépêché deux de ses responsables sur place, vendredi. «Ces chantiers ont été mis en place depuis quatre ans en partenariat avec la Maison de l'estuaire», explique Morgane Creismeas, déléguée pour l'Europe. «Ils tournent tous autour de l'entretien du petit patrimoine bâti. À Penhoat-Lancerf, il s'agit principalement de la mise au jour d'anciens routoirs à lin», précise Loïc Gosselin. Sur le site naturel protégé, une vingtaine d'adolescents ont ainsi retroussé leurs manches. Armés de pelles, pioches, bêches, scies et sécateurs, ils ont redécouvert les vieux murs jusqu'à ce qu'apparaisse le pavage traditionnel du fond du routoir. «Le routoir était entièrement envahi de ronces. On savait qu'il existait, mais il avait disparu sous la végétation. C'est le sixième du secteur ainsi dégagé», se félicite le garde.